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Ben je ne légitime aucun propos, j'ai juste 2 personnes différentes qui m'ont indiqué la même chose, c'est à dire qu'elle a demandé plus de 8000€/mois au NFP mais qu'elle ne les a pas obtenu. Et j'ai très peu de doutes sur la véracité de leur parole. Que tu me dises, j'ai un wagon de retard, oui peut être, je suis pas H24 ici ou sur l'actu. Que tu ironises là-dessus, ok pas de problème, mais que tu cites le X de Lucie Castets pour clarifier ces dires .... LOUL

D'après 2 sources différentes (un élu PS et un fonctionnaire d’État) qui sont des amis, Lucie Castets aurait demandé un salaire supérieur à 8000€ au NFP et une enveloppe d'un montant astronomique pour son équipe. Bon je ne connais pas le montant de l'enveloppe et je ne peux pas juger de son importance car je n'ai aucun référentiel ni aucune compétence sur les frais de fonctionnement de ce type de fonction ... Mais si cela est vrai, demander un salaire de + de 8000 balles alors qu'elle n'a rien fait jusqu’ici pour le mériter, à part une intervention dans C à Vous il y a 2 ans , c'est plus qu'un indécent.

« On fait une compétition européenne sans avoir les moyens d’un club européen », explique Grégory Lorenzi (Stade Brestois) Article réservé aux abonnés logot Par Thierry Dilasser Le 03 septembre 2024 à 20h22 Au sortir d’un mercato intense, où les arrivées se seront multipliées dans la dernière ligne droite, Grégory Lorenzi, directeur sportif du Stade Brestois, dresse le bilan. Grégory Lorenzi est le directeur sportif (ex-coordinateur sportif) du Stade Brestois depuis septembre 2016. (Photo Vincent Le Guern) Un mercato particulier, à plus d’un titre. Le considérez-vous réussi ? Particulier, déjà, parce qu’on a une compétition supplémentaire à jouer. Il était donc important de pouvoir apporter un certain nombre de joueurs aguerris, pour la Ligue 1 déjà, notre objectif principal, mais aussi pour cette Coupe d’Europe et l’enchaînement de matchs tous les trois jours. C’est aussi pour ça qu’on a pris plus de joueurs d’expérience. Je trouve qu’on s’est assez bien étoffés, qu’on s’est équilibrés, même si on a toujours l’envie de vouloir mieux faire. Maintenant, comme pour chaque mercato, ce sont les résultats qui parleront. Quelles sont les principales difficultés auxquelles vous avez été confronté ? Déjà, il fallait respecter à l’enveloppe qui nous a été allouée. Après, il faut comprendre que beaucoup de joueurs nous ont répondu que c’était sympa d’avoir pensé à eux, que notre discours et notre projet étaient top. Mais que Brest, notre stade, notre ville… C’est notre réalité. Moi, ça ne me choque pas, ça fait des années que je suis confronté à ça. Ça fait partie de notre histoire. On ne se plaint pas, on est préparé à ça. Le cas de Satriano ne résume-t-il pas à lui seul le manque d’attractivité du Stade Brestois ? Ce n’est pas méchant ce que je vais dire, mais parfois les gens rêvent. Je n’en veux pas du tout à Satriano. Il faut simplement comprendre qu’on ne fait pas venir un joueur en claquant des doigts ni parce qu’on joue la Ligue des champions. Satriano, on a fait une proposition qu’on n’avait encore jamais faite, avec des conditions salariales très élevées. On a fait les efforts mais ça n’a pas suffi. Après, le joueur fait ce qu’il veut et estimé que la proposition de Lens était meilleure, même sans Ligue des champions. Tu es obligé d’accepter la concurrence, les envies de chacun. Chaque année, il faut convaincre, être patient, donner des arguments, et sans tout maîtriser. Satriano, on a fait une proposition qu’on n’avait encore jamais faite, avec des conditions salariales très élevées. On a fait les efforts mais ça n’a pas suffi. Après, le joueur fait ce qu’il veut… Avez-vous un autre exemple ? Il y en a beaucoup. Mais je peux vous parler de ce joueur de la Roma, un garçon qui a fait 30 matchs avec Mourinho (Edoardo Bove, finalement parti à la Fiorentina). Jusqu’au dernier jour, 18 h, on a fait des visios, présenté des vidéos de la ville, répondu à ses questions. Et c’est là où on voit qu’on part de loin. Pourtant, on aurait aimé avoir ce joueur, d’un très beau calibre… Et encore, là, on a été écouté parce qu’on fait la Ligue des champions. Sinon, les joueurs, même pas ils ne répondent… Vous n’en avez pas moins atteint votre objectif, avec 26 joueurs sous contrat et en ayant recruté aux postes ciblés. Et ce, malgré un contexte compliqué… Il faut parler de ce contexte ! Et rappeler qu’aujourd’hui, le modèle économique du foot est en train de changer avec la crise de droits télé. Certains clubs de notre catégorie - comme Montpellier, Reims, Auxerre, Le Havre - n’ont pris aucun joueur ou que des joueurs libres. Nous, on a la chance d’avoir la Ligue des Champions pour investir et nous développer. Mais tout en ayant l’obligation de se projeter sur plusieurs années. C’est pour ça que mon travail est très difficile, parce que d’un côté, il y a une attente et l’obligation de renforcer l’effectif mais, de l’autre, un budget à équilibrer tout en préparant l’avenir, de façon cohérente. Il ne faut pas croire que c’est facile. Entre la crise des droits télé et la Ligue des champions à préparer, en quoi ce mercato restera comparable à aucun autre ? Sur les joueurs, tout simplement. Parce qu’aujourd’hui, on a un club qui fait une compétition européenne sans avoir les moyens d’un club européen. À un moment, on a voulu rentrer dans des négociations avec des joueurs qui pouvaient nous apporter du clinquant. Mais on s’est aperçu qu’on partait de trop loin, et on a préféré reculer pour ne pas faire n’importe quoi. Le risque, c’est de céder à la tentation et, derrière, de ne plus avoir que nos yeux pour pleurer si ça ne fonctionne pas parce que financièrement, on se serait mis dedans. C’est votre 10e année à ce poste. Est-ce le mercato qui vous a le plus usé ? Chaque année, il est usant. Mais c’est vrai que celui-ci était particulier. Cela reste quand même une belle expérience, et je ne vais pas me plaindre parce qu’on fait une Coupe d’Europe ! Au contraire. C’est quelque chose d’exceptionnel. Mama Baldé, pareil. Les discussions avaient débuté depuis longtemps, mais le « ok » est venu le 30, à 18 h. Et on ne l’a enregistré qu’à 22 h 54, quand on avait jusqu’à 22 h 59 pour le faire. Là, on était à la limite… Sur les douze recrues de l’été, six ont signé durant les 48 dernières heures du mercato. Comment avez-vous vécu ce laps de temps décisif ? Rien que le dernier jour, j’ai fait sept mouvements, deux sorties et cinq arrivées. Ça a été très, très mouvementé. Mais ce n’est pas moi qui ai voulu faire les dossiers le 30 août. Je suis le premier à le dire, la longueur du mercato est aberrante. Mais pour faire venir un joueur, il faut que trois parties s’entendent. Doumbia, on le voulait depuis le début. Mais il a fallu attendre le dernier moment pour que tout le monde tombe d’accord. Mama Baldé, pareil. Les discussions avaient débuté depuis longtemps, mais le « ok » est venu le 30, à 18 h. Et on ne l’a enregistré qu’à 22 h 54, quand on avait jusqu’à 22 h 59 pour le faire. Là, on était à la limite… On est finalement partis à 2 h du matin. Fatigués. Vraiment fatigués. Ne ressentez-vous pas une forme de lassitude à travailler avec si peu de moyens ? Je connais le contexte dans lequel je suis. Je sais qu’on sera toujours confrontés à ce déficit d’images. Et de moyens. Un club, ça se construit, une image, aussi. Aujourd’hui, ça fait que six ans qu’on est en Ligue 1. On n’est pas un club historique qui pèse, avec les infrastructures qui vont avec. Mais je ne me pose pas trop de questions. Je le sais, c’est comme ça. Et puis, je l’assume. Et tant que j’ai de la motivation, je donnerai toujours le meilleur. Le mercato du Stade Brestois est-il bouclé ? Oui et non. J’ai toujours une réflexion, sur un poste, pour apporter une touche supplémentaire, on va dire un poste médian défensif. Donc, pour l’instant, le mercato n’est pas encore fini à 100 % dans mon esprit. C’est une réflexion. Mais je vais rester vague, j’attends de voir un petit peu…

Je suis sincère quand je te dis que tu as des troubles psychologiques sérieux. Quand tu découvres un nouveau mot grâce aux Internets, tu l'écris dans tous tes posts même s'il n'a rien à foutre dans ta phrase. Et cette semaine c'est" Ad Hominem" . Lâche les écrans, fais du sport, vois des vrais gens, ballade toi dans la nature, prend des apéros (et quelques caissons de temps à autre), occupe toi de ta famille, engage toi dans le milieu associatif .... tu verras que la vie est belle et que le monde est différent de celui que l'on nous présente à travers les Internets. La vraie vie n'est pas ici Fredo.

Ben tu es présent sur tous les threads à poster frénétiquement depuis tellement d'années que ça en fait peur ... Tu pourris tous les threads, tu assènes des vérités à longueur de posts, tu n'aimes pas la contradiction, on a l'impression que tu t'écris à toi-même. Tu fais vraiment flipper

ROFL Content que ça vous mette un peu de soleil dans vos vies de nous fesser. Et sinon ça vous plaît d'être devenu un produit de trading ? Vos joueurs qui font des bisous à votre écusson et qui dans 4 mois seront en Angleterre ou en Turquie, vous kiffez ? Nous préférons garder notre honneur quitte à descendre en L2, plutôt que de se faire cracher dans la bouche tous les jours et de laisser un délinquant sexuel porter mon blase. Vous ne vous respectez même plus ... Votre football n'est pas mon football

Je te parie que si on appelle le "The Prodige Sweden" sur ce thread, on pourra y piquer une tête dans 6 mois. T'en penses quoi @Amicalité Totale?

Je suis en train de me remettre du Motocultor Festival et on bosse comme des fous avec Greg' Lorenzi pour avoir un effectif potable. Le nez dans le guidon et l'estomac dans la boîte à gants . Je ne savais même pas que nous avions joué ce WE, à priori contre une Top équipe européenne vu le score @PoneyTresSage@casinas@pokerbreton. En tout cas, les échos que j'ai eus des commerçants et habitants de Plougastel, c'est que vos supporters ont eu un comportement avant match très bons. Sympas, zéro véhémence ..... ils ont explosé les CA des commerçants et laissé une belle image de votre club. Comme quoi tout arrive ...

Ben faut remercier nos chers dirigeants du foot français qui font de la m**de depuis des années et grâce à leur talent dans la négociation des droits TV, le budget transferts du Stade Brestois a été divisé par 2 par exemple. Et il n'est pas parti de la meilleure des manières c'est vrai mais pas en très mauvais terme. On a zéro option et on a de la chance d'avoir de la compétence au niveau des dirigeants avec Denis le Saint et Greg Lorenzi et au niveau technique avec Roy, Lachuer, Grougi et Bourgis. Et nous on a pas vendu notre cul et notre âme aux riches pétrol-boys ou aux fonds spéculatifs US. Profitez bien de vos clubs tant qu'ils existent car y'en a plus qui vont nous faire une Bordeaux dans les 5 années à venir. RIP le ballon français ...

Essayez de passer les fêtes avec De Zerbi et 50% de votre effectif, ce sera déjà pas mal

Popopo on retourne au taf' les glandus ! C'est pas juste en faisant plouf plouf dans une piscine ou en mettant des parpaings au Volley que l'on va redresser le pays. Cheveux longs va !

Ok ... on s'en branle. T'as perdu, tu rends l'argent.

L'enfant prodige est de retour ....

Parce qu'on se carre bien les Maths au fond de l'oignon dans ce thread