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giggs83

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Le dernier jour que giggs83 a gagné est le 16 Novembre 2011

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À propos de giggs83

  • Naissance 02/03/1983

Informations générales

  • Prénom
    guillaume
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    Homme
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    paris
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  1. Une solide journée de grind pour gagner pas moins de 4K jetons vs le stack de départ. On est large pour demain avec 7BB.
  2. EPT/FPS Paris, des Cpistes ?

    Qualifié via pokerstars pour le main FPS. Je jouerai le Day 1C. Si pas de Day 2, peut-être la FPS Cup.
  3. Le coin des Papas !

    bande de branleurs. j'ai une yoyo pour la ville, une poussette tout terrain pour aller au parc lever de la mère cebil (avec un bulldog français en prime c'est les nuts), et une autre yoyo dans ma bicoque à la plage. j'en ai pour 3K€ de poussettes de balla
  4. La France Insoumise

    il y a quelques semaines, j'ai baisé une vilaine factrice estampillée "France Insoumise" qui vient collecter le courrier tous les midis à l'accueil de ma boîte. sa prestation a bafoué en tout point le positionnement et les valeurs mises en avant par le mouvement. ce genre publicité mensongère et à vous dégoutter de la politique...
  5. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    Luckylooser (Part 1/3) Tel père Castor, je vais vous conter l'histoire de la période bénie où j'ai pilonné à gonades rabattues une meuf "plus bonne que la plus bonne de tes copines". De la traque épique de l'oiseau légendaire, à l'apogée glorieuse des meilleures parties de baise de ma vie, jusqu'à la disgrâce honteuse et semi-publique qui m'a fait sérieusement penser à prendre ma retraite de baiseur de malade, cet épisode de ma vie sexuelle alimente aujourd'hui encore mes rêves érotiques autant que mes pires cauchemars. Partie 1 : La traque 17h00. Salon BtoB porte de Versailles. Alors que je me pavane sur le stand format XXL de ma boîte, bouffant le stock de petits fours Lenôtre et m'enquillant des godets de Moët millésimé destiné à nos clients premium, j'aperçois chez nos concurrents directs (une bande de bâtards qui rognent mes primes annuelles) un véritable avion de chasse. Je vous fais pas de dessin : "fracture nette de l'œil droit". La meuf fait la potiche d'accueil pour ces fils de chien, et j'ai beau avoir mon propre harem d'intérimaires bonnasses, elles font clairement pas le poids. N'étant pas du genre rancunier, je me dis que quitte à perdre du chaland, autant mettre mon temps à profit en essayant de lever cette lapine dont la seule vision me donne envie d'aller secouer popol dans le parking. En bon chasseur, je trouve donc un poste d'observation afin de récolter quelques indices sur le gibier. Autant vous dire que quand je la vois taxer une malbak menthol à sa collègue, je file par l'arrière vers la zone fumeur la plus proche en mode Yohann Diniz histoire d'être sûr d'arriver sur place le premier. J'ai beau être un chien de la casse, faut pas que ça se sente direct, hein ! Arrivé sur place, je coupe la moitié de ma clope avant de l'allumer, retrousse légèrement mes manches de chemise histoire de faire ressortir ma Submariner Date (ndlr : pour choper de la jeunette toujours opter pour des attributs facilement identifiable. La Patek ou l'IWC sont réservées pour la chasse à la cougar) et attend ma proie. Etant largement au-dessus du field des CEO et autres CTO blindés mais croulants qui peuplent le salon, elle me jette un petit regard discret mais expert en arrivant sur place : ganache, costard, montre, chaussures. Bingo : ça pue la bonne goldigger, extracteuse de jus et de biftons ! L'approche est directe et pécunière. Je la veux sur mes salons en France, tout frais payés (déplacements, hôtels, frais de bouche + une tenue par event) et je mets 25% de plus que ce qu'elle prend ici. En bonne michtonneuse, elle est intéressée mais en veut plus (tarifs boostés pour les weekends et après 19h). Je lui propose de discuter de tout ça en fin de journée parce que là j'ai pas que ça à foutre, je dois aller animer une conférence. Elle prend ma carte de visite et me promet d'appeler à 20h00. 21h00. Je traine comme une âme en peine en espérant son appel. Alors que je m'apprête à bouger pour passer en mode "tripitik de la loose" (resto en solo, branlette J&M, spin&go), mon tel pro sonne. Numéro masqué. Ca sent la poule de luxe expérimentée... On prend un taxi direction La Rotonde de La Muette où ma boite à une table de réservée sur toute la durée du salon. Après avoir expédiés les affaires courantes en sirotant un cocktail dont le nom me fait penser à une insulte en portugais, on commence à rentrer dans le vif du sujet. Elle est bonne et elle le sait. Elle me plaît et c'est réciproque. Elle aime le luxe et je peux être son sugar daddy. C'est alors que je manque de m'étouffer avec une cuillère de purée de légumes perdus : cette sal*pe commence à me malaxer la queue avec ses petits doigts de pieds agiles et experts ! Et elle rigole, me regardant en se passant la langue sur les lèvres. put**n, je suis à deux doigts d'ajouter du jus dans la purée moi. Magnanime, elle me laisse redescendre en commandant droit dans les yeux à un pauvre serveur affolé d'excitation, un "café gourmande"... 00h00. Arrivée dans ma chambre d'hôtel, elle prend possession des lieux telle une chatte de luxe issue d'une pub Sheba. Elle zieute par la fenêtre, caresse d'un doigt de velours mes chemises et costumes alignés dans la penderie ouverte, teste la fermeté du lit de son cul de sprinteuse, puis prend la direction de la salle de bain. "Tu viens ?" me lance-t-elle d'un air narquois. Quand j'entre dans la pièce, elle est déjà à poil en train de faire couler la douche. Pas de tatouage, pas de piercing, juste un ticket de métro pour habiller son corps de déesse. J'arrive à me dessaper sans trop d'empressement (en tout cas j'essaie), et je la rejoins sous le jet brulant avec la bite prête à exploser. Elle m'attrape littéralement par le chibre et commence à m'astiquer et à me frotter le bout du gland contre son ventre et son cul. Je lui fait alors comprendre qu'à ce rythme-là, Papa va pas pouvoir tenir longtemps. "Faut toujours s'échauffer avant de faire du sport !" rigole la gourgandine. Fallait pas en dire plus, je désenclenche le coupe circuit et décharge mon jus dans son nombril et sur sa chatte. A peine soulagé, je la vois s'échapper, se couvrir d'un peignoir et filer taper dans le mini bar. J'ai beau avoir juté comme un adolescent découvrant pour la première fois les pages lingerie du catalogue de la Redoute, impossible de débander. Je sors donc de la salle de bain en peignoir mais toujours au garde à vous, avec une sérieuse envie de ne pas temporiser. Seulement c'est pas moi qui mène la danse ... Je patiente donc comme un con, encore en érection et toujours en peignoir, attendant son prochain move. Elle se lève alors, se fou devant moi, enlève son peignoir, ouvre le mien, et commence de nouveau à me branler avec son pied. Une fois qu'elle considère que je suis suffisamment excité (ce qui est bien le cas, n'en doutez pas), elle décale alors son pied et le pose sur le lit. Puis elle m'attrape par l'arrière de la tête, et me la fourre dans sa chatte délicieuse. Ce n'est qu'une fois que je l'aurais fait jouir avec ma bouche qu'elle consentira à me laisser le lead. Et de chatte de luxe, elle se transforme alors en chienne soumise. Bien aidé par l'avant match, je profite alors abondamment de sa bouche et de son con. Après une dernière saillie en levrette (soit dit en passant, jamais plus de ma vie je ne verrai une meuf se cambrer de la sorte), je lui balance mon foutre au creux de ses dorsaux taillés à la serpe. Cette soirée sera marquera le début mes 30 glorieuses à moi, 30 semaines durant lesquelles elle me fera revoir mes perspectives en terme de qualité de baise. 30 semaines qui alimenteront à jamais mes branlettes solitaires, jusqu'à mes derniers jours à l'EHPAD du Trocadéro.
  6. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    De la m**de, du foutre et des larmes Comme tout bon baiseur de malade, j'ai une reg. Pour ceux qui ont suivi mes péripéties d'antan, obv c'est celle qui jouit comme un geyser. Elle est un peu low stakes par rapport à mes standards actuels, mais je peux lui faire toutes les crasses qui me feraient finir en prison si je les demandais à mes "one time". L'histoire du jour se passe après une bonne année de grind sur/sous/dans cette fille aux mœurs des plus légères. Après avoir habillement évité le cap du boyfriend/girlfriend à coup de 5bet Bluff PF, je commence à vraiment me lâcher…. et elle aussi. On a deal sur une relation en mode récréatif-non exclusif-expérimental dans laquelle elle s'épanouie en me vidant les gonades comme un RegTard vide son héritage au feu Cercle Cadet. C'est justement en sortant de ce joyeux foutoir où les pros de la 50 rivalisent de conseils techniques pointus, que je décide de siffler ma petite chienne. Le temps pour moi de faire les 200 mètres qui séparent mon appart du cercle (JBS pourra en témoigner), de passer un rapide coup de tondeuse à mon pubis pour tenter de gagner un demi centimètre (là aussi JBS pourra en témoigner), de prendre une douche et de rouler un mocko de jaune, et voilà que ma monture se pointe pimpée et parfumée comme la bonne catin de banlieue qu'elle est. Le meta game entre nous est tellement installé qu'on fait plus dans la dentelle. Le pétard tourne en même temps qu'on échange nos rôles de lécheur/léché sur le canap', et dès qu'il finit dans le cendar, elle se lève dans un réflex pavlovien et prend la direction de ma piaule pour passer aux choses sérieuses. Les premières minutes s'effectuent toujours en position missionnaire puis enclume. Ca me permet, par une pression sur son pubis glabre et dodu, et grâce à mon chibre en porte manteau, de la faire gicler abondamment, ce qui entraine chez elle une désinhibition totale pour la suite de la partie. Je lui dit alors de se tourner parce que je veux la prendre en cuillère. Et là, je la vois se foutre à quatre patte … Un peu défoncé et un peu beurré, je reste là, la bite à l'air, en attendant qu'elle bascule sur le côté. Mais rien, la meuf reste le cul en l'air et la tête dans l'oreiller. Au bout de dix secondes, elle tourne la tête et me dit : "bon alors, tu me me prend par derrière oui ou non ?" On passe donc de la cuillère à la sodomie ! Chouette. Après les préparatifs d'usage (lubrifiant + doigts dans le cul), je sens à sa façon de me sucer le bout qu'elle est prête et impatiente. Elle me demande d'y aller gentiment parce qu'elle a encore jamais pris dans le fion, et j'acquiesce d'un bon "oui bien sur" en pur bluff en me disant que : - elle en est sans doute pas à sa première anale - de toute façon je vais lui péter la rondelle au bout de quelques va-et-vient. Alors que j'insère difficilement mon gland dans son anus et que je l'entends couiner comme une lada d'occasion lancée à 115 sur l'autoroute, je commence à me dire qu'elle n'était peut-être pas en pur bluff sur ce coup-là et que son cul est peut-être bien aussi vierge que l'était la sœur de Ready_To_Gamble avant de croiser mon chemin. Forcément, ce paramètre entraine un gros raise de mon ardeur. Sans compter que le mélange de jus de m**de, résidu de jus de chatte et reste de lubrifiant provoque une espèce d'émulsion brunâtre qui génère en moi un mix dégout/excitation explosif. Alors que je suis sur le point de jouir, j'arrive dans un effort mental incommensurable à retirer ma queue de son trou béant, à lui balancer la capote sur le dos, à l'agripper par la queue de cheval et à lui bazarder ma semence chaude et visqueuse en pleine gueule. A ce moment précis, les digues sont sur le point de sauter et j'ai presque envie de la marier. Elle est à genoux, tremblante mais souriante, le makeup dégoulinant de sperme, la larme à l'oeil et la m**de au cul.
  7. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    Boris, la Magligte et la réceptionniste 14h50 - Bâtiment B - 6ème étage Sous prétexte d'un coup de fil important, je suis enfermé dans mon bureau, stores baissés, vautré dans mon fauteuil telle une baleine échouée sur la plage de Calais, en pleine digestion d'une andouillette AAAA (les nuts pour tout balla de l'Omaha) arrosée au Nuits-Saint-Georges. On a peut-être passé l'âge du Tacos 3 viandes sauce Algérienne, c'est pas pour autant que je compte me fouler une burne un vendredi AM. Bref, le premier qui vient me casser les glaouis, je lui fait bouffer son propre étron. Mais celui qui vient stopper ma douce rêverie alors que je suis en plein fantasme de hero call J high en Live au Hustler Casino, c'est Boris. Un polak d'1m12 pour 120kg, ex taulard aux quenottes en or, échangiste prisé du milieu pour son presque triple décimètre, stabilisé à 1.4g de vodka par cl de sperme depuis 1994 et qui branle je sais pas quoi (et je sais pas qui) à l'entrepôt. Obvious le bon poto sur qui j'ai max history dans le tracker. Sauf que normalement, il a plus le droit de monter dans les bureaux. A priori pour des broutilles genre blagues salasses aux pimbêches du SAV et forward de chainmails douteux. Sans vouloir faire l'avocat du diable, le seul truc chelou que j'ai jamais reçu par mail dans cette tôle venait du DRH : un GIF d'une demoiselle se fourrant une cannette de BreizhCola dans le cul (NDLR : le breton est toujours fier de voir sa région mise en avant, puis en arrière, puis en avant ...) A la ganache enjoué de mon Boris, je sens qu'il prépare du sale. Ni une ni deux, je préviens Micheline (ou Madeline, ou Michèle je sais plus, bref ma secrétaire) que je dois passer à l'entrepôt et qu'elle a qu'à envoyer chi** jusqu'à lundi les branleurs qui viendraient whine à ma porte. 15h15 - L'entrepôt - Bureau du polonais La réceptionniste du grossiste d'à côté rentre dans la pièce. 22 piges, plutôt moche mais assez bonne. Un "DameOuite" offsuit quoi. Boris l'a chauffé la veille au soir dans un pub de m**de, et en bon conn**d, lui a vendu qu'il se barrait le lendemain et qu'elle était la bienvenue à son pot de départ. La meuf arrive et capte direct le traquenard. Elle beau être conne, un pot de départ à 3, dans un bureau sans fenêtre avec des posters playboy au mur et un autocollant pornhub sur le dos de l'écran d'ordi, ça respire plus le plan tordu à la J&M que les petites fours et le crément. Je vous passe les détails, mais après une bonne demi-heure de tchatche rondement menée par un Boris en rut, la demoiselle avoue qu'elle est une grosse sal*pe. Le polonais étant un dominant / mateur, il lui ordonne de commencer par me sucer le poireau. Alors qu'elle est toute à son œuvre, arrive l'inattendu : il se lève, va chercher une boite de capote et .... sa Maglite grand modèle. Etonnamment (ou pas vu le profil de la meuf), ça rentre assez vite et assez profond. Ce tableau glauque, composé d'un polonais en train d'essayer de faire durcir sa bite de poney et de vilaine avec une lampe troche dans la con, m'achève définitivement. J'éjacule sans complexe dans le gosier de la donzelle (qui bronche pas), et me retire des lieux, honteux et soulagé à la fois (la même que quand tu t'es branlé sur un truc chelou de youporn). Boris m'avouera plus tard que malgré quelques soubresauts et tous les efforts de la petite, son chibre d'âne n'a pas atteint sa pleine mesure et qu'il s'est terminé à la main en la matant se fourrer elle-même la loupiote dans la chatte.
  8. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    tu oublies PAPA dans tes calculs à la mords moi le chibre. cet AM je vais vous conter ma dernière en date. ça implique un polak à la gueule de taulard dont le tromblon est trop gros pour qu'il arrive à bander sans faire une chute de tension, une lampe torche, la réceptionniste de 22 piges, un entrepôt et une éjac' non maitrisée.
  9. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    Si t'es né après 98, appelle moi PAPA, il est probable que j'ai n*iqué ta mère Sinon tu peux m'appeler BRO dans la mesure où j'ai sans doute ba*sé ta sœur (ou ton frère...) Pas d'animosité, pas de brag, juste des faits. Bref, la famille toussa toussa
  10. Où sont passés les ba*seurs de malade ?

    8 ans sans foutre les pieds ici et plus un seul ba*seur de malade ? Où sont passés les concombres de mers et autres photos de chibre en érections toussa toussa ? La nouvelle génération de cpiste n'est-elle fait que d'énuques et de LGTB+ woketards ? Il est grand temps de reraise allin pour info. J'ai 8 ans de plans cul foireux (parfois dans tous les sens du terme) à venir gerber dans le zoo. In before ban4life. RIP JBS MON AMOUR DE TOUJOURS
  11. Collusion au Royal Casino Mandelieu

    va voir les tables de cg 2/2 du cercle cadet, c'est encore autre chose en terme de non respect des règles les plus fondamentales du poker. les cercles et casinos ont à mon avis pris le mauvais virage, celui du privilège des regs ... de la 100.
  12. Trouver un fold ?

    si le turn est un Td, tu penses que ça change beaucoup la façon dont vilain va jouer sa main ? donc fold inenvisageable
  13. LE MILLION - WS 2014 main event.

    in ce soir, z'ont réussi à me remettre l'eau à la bouche avec le million garanti ces couill*ns !
  14. Bye

    Une des rares personnes à qui j'ai présenté mon chibre sans connotations sexuelles, juste par symphatie. Le volet roulant du carrefour market en bas de mon ancien appart porte encore les traces d'une soirée arrosée au cointreau.
  15. ça faisait un bout de temps que j'étais pas venu faire un tour ici, et du coup impossible de passer outre ce sujet. j'ai pas d'avis sur le fond car je ne connais pas le(s) spectacle(s) de Dieudonné. par contre, ce qui m'a beaucoup choqué à travers ces 80 pages, c'est la forme, à savoir le statut perçu de Dieudonné par les uns et les autres. et je vous avoue ma surprise de constater qu'un bon nombre d'entre nous considère encore Dieudonné comme un humouriste, ni plus, ni moins. or il est tout à fait clair que Dieudonné a aujourd'hui autant d'ojectif humouristique que politique. et dans ce cadre, il est désormais exclu de simplement prendre ce qu'il dit comme de l'humour uniquement. mais comme je ne connais pas le bonhomme et que je ne fais pas confiance aux médias mainstream français pour relayer ce type d'infos (cf traitement de l'affaire leonarda pour une belle dernière mesinformation en date), je m'abstiendrai de commentaires sur le fond.
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