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sgilmion reacted to Alexonmoon in Quelques révélations de BIG ROGER
Salut Roger,
Je te souhaite bonne chance contre Cyril, comme dit Rui, c est pas un rigolo.
Je vois egalement que tu te cites comme meilleur joueur Francais, le poker ce n est pas que le No Limit Holdem. Je te propose de te jouer juste en live au jeu de ton choix parmi cette liste : ( badugi, limit holdem, triple draw deuce limit, omaha hi lo, razz,stud hi, stud hi lo, nl single draw lowball ) . On peut faire un mixed si tu le desires c est plus sympa. ( horse, 8 game etc ).
On a joue plusieurs fois ensemble en live a ces variantes en cash a des limites serieuses ainsi que aux WSOPs, je sais que tu les connais.
On peut jouer a partir de 200/400 pounds up to 1k2k limit en live a Londres apres que tu es fini ton defi contre cyril.
Ca seras l occasion de prendre ma revanche
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sgilmion reacted to Comanche in Quelques révélations de BIG ROGER
Roger/Cyril , on peux vous appeler mardi en direct à la radio pour régler les modalités une fois pour toute ?
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sgilmion reacted to Gohanounet in Quelques révélations de BIG ROGER
Roger, non mais t'es serieux? Don limit c'est pas un rigolo comme moi ou Alex
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sgilmion reacted to OMG_Evra in Quelques révélations de BIG ROGER
No stress les greluches, vous l'aurez votre staking pour le prochain MPO.
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sgilmion reacted to DonLimit in Quelques révélations de BIG ROGER
Roger je suis partant pour jouer online et live comme tu l'as proposé.
Online 500/100 usd sur ps.com ou ftp.com, je te laisse choisir. Il faut définir un nombre minimum de mains.
Live 50/100 gbp à Londres. J'ai les 3 premières semaines de janvier dispo, on peut jouer tous les jours.
Je te soumets quelques petites règles que tu trouveras certainement raisonnables.
- 2 tables min pour le online, si tu veux plus c'est ok.
- 100bb minimum, si tu veux plus c'est ok (online et live)
- On ne retire rien de la table tant que les deux joueurs ne sont pas à 300bb (online et live).
On peut commencer le online quand tu veux.
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sgilmion reacted to deedeepha in Séries télé
En ce moment je mate Orphan black j'ai plutôt bien accroché bien aidé par la très bonne performance de l'actrice principale qui -sans trop spoil- doit s'essayer au même exercice que celui de Toni Colette dans United states of Tara.
Pour situer mes goûts, même si cela ne veut pas forcément dire grand chose tant j'ai l'impression que certaines séries sont universelles j'ai particulièrement aimé, entre autres, dans le désordre:
Breaking bad, The walking dead, Hit & Miss, Utopia, Oz, American horror story, Real humans, Fringe, GoT, Homeland, Misfits, Siberia, Under the dome..
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sgilmion reacted to lOrDy in Vous les trouvez bien les structures des tournois, vous ?
Des joueurs connus et reconnus du circuit expriment bien souvent leurs sentiments à l’égard du poker en France, dans le but de l’améliorer, pour le plaisir de tous. Je pense particulièrement à Philippe Ktorza et les pay outs, le calendrier des tournois live etc.
Je vais donc proposer à tous les acteurs de notre petite communauté pokeristique de réfléchir et débattre sur les idées que je vais exposer, et j’espère que vous en trouverez d’autres !
Cet été j’ai fais mes premiers tournois à Vegas, avec des buy in entre 235$ et 10 000$. Et c’est là que ma vision du poker de tournoi a changé.
J’ai notamment participé à des tournois des championnats du monde à 1000 et 1500$. Ces tournois que les français appellent « boucheries ». Comment cela on joue la plus belle série de tournoi au monde et ce sont des boucheries ?
Et bien mon but est aujourd’hui de faire changer d’avis la communauté Française du poker, d’adapter et d’adopter ces structures qui sont excellentes dans notre pays. Non pas parce que j’ai envie de me sentir toute l’année à Las Vegas, mais parce qu’il y a selon moi un gros problème avec les structures de tournoi en France (je parle de la profondeur / des niveaux de blindes).
Pour avoir été loin dans l’un de ces tournois à 1500$ (19e/2816 joueurs), je peux vous dire comment il s’est déroulé : la moyenne n’est jamais passée en dessous des 35BB, et 2815 joueurs ont été éliminés en 3 journées de 10 niveaux environs (3x10 heures) pour donner un vainqueur, un « champion du monde ». Le premier niveau est 25/25 avec 4500 jetons, un joueur français lambda me dirait ici : « mais comment fait-on pour jouer avec 4500 jetons, c’est de la loterie !? », je lui répondrai que 4500/25=180 soit 180BB pour commencer le tournoi, une profondeur tout-à-fait jouable, même très largement). Je peux vous dire que la bulle a éclaté avec 10% du field restant après 11 niveaux d’une heure sur le niveau 600/1200 pour une moyenne à plus de 40k jetons (35BB). J’ai sauté de ce tournoi en 19e place (moins de 1% du field restant) sur les blindes 8k/16k pour une moyenne à 660k soit plus de 40BB.
Maintenant réfléchissez bien et essayez de trouver un tournoi en cercle ou dans n’importe quel Casino de France (hors WPT Paris, PPT, EPT Deauville qui sont ou étaient des tournois internationaux) qui offrent une telle profondeur à la bulle ou en table finale… Bon OK quelques tournois « event » à l’ACF (deepstack CP, Main Event Hold Em Series) et la série de tournoi d’Apo Chantzis, All Poker Open (pardonnez moi si j’en oublie mais je suis sûre qu’une seule main suffit pour les compter).
Je fais cet article car j’ai trouvé les structures WSOP magnifiques, contrairement à beaucoup de joueurs français (je n’ai jamais entendu un américain parler de « Butchery »), et qu’il y a beaucoup à reprocher à des tournois faux deepstack, ceux que l’on retrouve le plus en France aujourd’hui… 40 000 jetons, 50 000 jetons, 100 000 jetons en veux-tu en voilà ! Une profondeur totalement inutile selon moi et qui ne sert qu’à un seul argument : « au moins on peut prendre des mauvais coups au début et être toujours de la partie ». Il est vrai que lorsqu’un joueur amateur fait 300km (parfois plus) pour aller faire un tournoi à 500€, il a envie de jouer au moins une journée entière. Mais cela est contraire au jeu de tournoi, qui doit sélectionner les joueurs au fil des niveaux pour finalement déclarer un vainqueur.
Comparons une « boucherie » des WSOP à 1 000$ avec 3 000 jetons de départ et des niveaux de 60min avec un DSO à 500€ avec 50 000 jetons et des niveaux de 50min.
Je peux déjà vous assurer que tout ce qui fait la différence entre ces deux structures n’est pas les 3 000 jetons par rapport aux 50 000 jetons mais les 60 minutes par rapport aux 50 minutes.
C’est mathématique, dépoussiérez votre cahier de mathématique et ouvrez-le au chapitre « limites ». S’il y avait un théorème sur les limites appliqué au poker de tournoi, cela donnerai ceci :
« Quelque soit la profondeur de départ, si les niveaux durent M minutes, nous auront X blindes de moyenne au bout de Y niveaux, Y assez grand.»
Pour éclaircir cela, disons que cela ne sert à rien de commencer avec trop de profondeur, ce sont les durées des niveaux qui déterminent si une structure est belle ou non.
Un exemple extrême : considérons deux tournois infinis avec un nombre de joueurs infini. Au bout de N niveaux très grand, un tournoi avec 500 jetons de départ sur des blindes 25/50 mais des niveaux de 2 heures (120min), offrira plus de profondeur qu’un tournoi avec 100 000 jetons de départ et des niveaux de 90min (en considérant la même structure d’évolution de blindes bien évidement).
Un exemple concret : dans deux semaine se déroulera au Casino Barrière d’Enghien-Les-Bains le premier tournoi de la série « BPT Deepstack » avec sa formule à 50 000 jetons (c’est beau, c’est profond), et des niveaux de 40minutes (ah m**de, je vous préviens, la bulle éclatera avec entre 15 et 20BB de moyenne). Je ne suis pas là pour faire de la mauvaise pub, je dis juste que ce n’est pas ma vision du poker de tournoi en live (ET MEME ONLINE !). Et de toute façon ce tournoi sera un grand succès, à la hauteur du BPS Deauville qui avait offert la même structure et réuni plus de 500 joueurs (il y avait 17BB de moyenne à la bulle, et pour le coup, ça c’est une vraie boucherie !).
Revenons à la comparaison,
Considérons un DSO à 500€, 50 000 jetons, 500 joueurs, niveaux de 50 minutes,
avec un 1000$ WSOP, 500 joueurs (par souci d’équité, car il y a souvent entre 2000 et 6000 joueurs), niveaux de 60 minutes.
J’ai mis beaucoup de temps pour faire ce tableau, j’espère qu’il est clair et qu’il a un intérêt pour la suite de l’article :
http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=157223ScreenShot052.png
Les chiffres ne sont bien évidement pas réels à 100%, d’ailleurs je ne parle pas du DSO de telle ville en telle année, ni de l’event X en 20XX à Vegas. J’ai réalisé des estimations par rapport à du vécu, des coverages mais aussi du bon sens !
Analyse rapide de ce tableau :
- Le DSO dure plus longtemps que le 1000$ WSOP alors que les lvl sont plus courts.
- Le nombre de joueur décroit beaucoup moins vite sur le DSO surtout au début ou il n’y a pas vraiment d’action. Phase du tournoi durant laquelle les stacks oscillent très peu.
- Le DSO coûte plus cher à l’organisation, les heures de travail nécessaires des croupiers sont beaucoup plus importantes que sur le 1000$ WSOP.
- Conséquence de la structure déséquilibrée du DSO : un coup gagné/perdu en début de tournoi n’a quasiment pas d’incidence sur la suite du tournoi, alors qu’un coup gagné/perdu en fin de tournoi a des conséquences énormes. Sur le tournoi WSOP, les coups joués en début de tournoi ont plus d’importance, et les coups joués en fin de tournoi ont des conséquences moindres.
- La moyenne des stack (en BB) met presque 20 niveaux à se stabiliser sur le DSO, alors que seulement 4 sur le 1000$ WSOP.
Pour en avoir discuté avec plusieurs petits génies du poker français, le problème des structures en France est aussi dû au fait que les joueurs de live français soient des NIIIIIIITTT, et ce sont ces parasites qui détruisent les structures (mais on les aime quand même).
Si on met 60 minutes par niveau de blinde sur un DSO en France on gagne de la profondeur mais je ne pense pas au point d’arriver à ne jamais passer en dessous des 30BB de moyenne.
Car il y a un autre facteur, qui découle du style de jeu serré des français : les masses.
Beaucoup de joueurs amateurs n’ont pas conscience de la valeur réelle de leur stack, ils considèrent qu’un stack de 150 000 a de la valeur et quand le croupier annonce qu’il faut payer 10 000 pour aller voir le flop, tout de suite la somme fait plus peur, résultat, ils resserrent leur jeu. Ils aiment les masses et veulent les conserver. Cet aspect conservateur des joueurs s’exprime moins lorsqu’on les prive de ces masses (début de tournoi par exemple, quand les montants sont petits). Les joueurs amateurs français ne raisonnent pas en nombre de blindes, mais en nombre de jetons. On entend souvent à table des phrases du style « il a payé 40 000 pré-flop avec paire de 5 », c’est comme si on vous donnait une recette de cuisine sans indiquer les proportions. Ces mêmes joueurs qui vont payer un tapis de 15BB en début de tournoi avec QT parce que ce n’est que 1500 jetons et ils en ont 20000 derrière. Ces mêmes joueurs qui vont folder AJ sur un shove 8BB en table finale parce que 8BB c’est 800 000 jetons, et 800 000 c’est beaucoup.
Bref ils sont perdus, et c’est à cause des masses trompeuses et l’important déséquilibre des structures de tournoi (trop profond au début, pas assez à la fin).
Pour en avoir discuté avec des organisateurs de tournois et notamment Apo Chantzis (qui organise des tournois avec 50 000 et jusqu’à 100 000 jetons de départ, dans le sud de la France, en Italie et même parfois ailleurs), c’est la clientèle qui réclame toujours plus de jetons, et s’ils ne font pas de tels tournois, la clientèle ne répond plus présent aux tournois. Ce n’est pas étonnant lorsque l’on voit le nombre de joueurs qui s’extasient à l’idée de jouer un tournoi avec 50 000 jetons, ou lorsqu’un casino fait la promo de son tournoi à 40 000 jetons sans même parfois préciser la durée des niveaux.
Donc pour une fois j’aimerai faire progresser les « fishs » (j’entends déjà crier les joueurs pros « NON FAIS PAS CA ! ») et leur faire prendre conscience que tous ces 0000 ne servent à rien, et qu’une belle structure ne se fait pas avec des jetons.
Les WSOPE adoptent les mêmes structures que les WSOP, c’est-à-dire nb jetons = 3*buy in.
Le ladies à 1000€ avait donc une structure avec 3000 jetons et des niveaux d’une heure.
Je vous envoie directement à la page 3 du coverage de Npyu_System sur le Club Poker pour vous montrer à quel point ces structures sont magnifiques :
https://www.clubpoker.net/forum-poker/topic/195428-wsope-2013-event-1-nlhe-ladies-coverage/page-3
Ce tournoi a réuni 65 joueuses, et qui dit « joueuse », dit souvent « serrure », voire même « coffre fort », ce n’est pas moi qui le dit, c’est un fait. Le tête-à-tête final a eu lieu au niveau 11 (oui il a suffi de 10h de jeu pour obtenir les deux dernières joueuses, sacrée boucherie hein !), les blindes étaient alors de 500/1000 (100), et les stacks ? 85 000 contre 110 000, soit 97.5BB de moyenne. Dingue ? Ou juste le résultat d’une structure magnifique ? Certe ce cas de figure n’est pas très fréquent sur des structures WSOP mais je pourrai parier ma bankroll qu’une telle profondeur en HU n’arrivera jamais lors d’un tournoi de type DSO.
Maintenant que j’ai bien saoulé tout le monde avec mes critiques et mes désirs de révolution du poker de tournoi en France. Je veux faire réfléchir les acteurs du poker (les fishs, les nits, les champions du monde, les TD, les floors, les croupiers, et tous les cons qui passent par-là) sur des structures de tournois qui seraient à la fois magnifiques, et VIABLES (tournois pas trop longs, pas de perte d’argent pour les organisateurs et idéalement un bénéfice, buy in accessibles). Je m’adresse aussi aux tournament directors et leur comptable car ils seraient certainement très intéressés par la colonne « nb croupiers mobilisés » dans le tableau présenté précédemment.
J’ai fait mes petites simulations (en m’inspirant de ces génies d’américains évidement),
avec un tournoi de type « Basique » et un tournoi de type « Main Event » sur la base de 500 joueurs (oui on va liquider 500 joueurs en 3 jours de tournoi avec une structure des plus sublimes). Car avec des structures comme je vais vous présenter, il faut faire un festival de plusieurs tournois étant donné que les joueurs sauteraient assez vite et qu’il faudrait les occuper avec d’autres beaux tournois (c’est un peu chiant de faire 500 km et de sauter sur un coup standard après 3h de jeu).
…Et de mobiliser en quasi permanence les croupiers/floors pour éviter les pertes d’argent en organisation.
Tournoi de type « Basic » :
540€+60€
3000 jetons
500 joueurs, 56 ITM (7 tables de 8)
Day1 : Rounds 75 min / 9-handed
Day2 : Rounds 90 min / 8-handed
Day3/finale : Rounds 100 min, 40 min pour le HU
Day1 (75 min lvl)
25/25
25/50
50/75
50/100
75/150 (25)
100/200 (25)
150/300 (50)
200/400 (50)
300/600 (75)
Fin du day. Estimations : 50 joueurs restants (la bulle a éclaté), moyenne : 30000, soit 37.5BB à la reprise au day2
Day2 (90 min lvl)
400/800 (100)
500/1000 (100)
600/1200 (200)
800/1600 (200)
1000/2000 (300)
1200/2400 (400)
1500/3000 (500)
Fin du day. Estimations : 8 joueurs restants (table finale formée), moyenne 187500, soit 47BB à la reprise au day3
Day3 (100 min lvl / 40min HU)
2000/4000 (500)
3000/6000 (1000)
4000/8000 (1000)
5000/10000 (1000)
6000/12000 (2000)
8000/16000 (2000)
Fin du tournoi
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Tournoi de type « Main Event » :
1850€+150€
10000 jetons
500 joueurs, 56 ITM (7 tables de 8)
Day1 : Rounds 90 min / 9-handed
Day2 : Rounds 120 min / 8-handed
Day3 : Rounds 120 min / 8-handed
Day4/finale : Rounds 120 min, 50 min pour le HU
Day1 (90 min lvl)
25/50
50/100
75/150 (25)
100/200 (25)
150/300 (50)
200/400 (50)
300/600 (75)
Fin du day. Estimations : 120 joueurs restants, moyenne : 41600, soit 52BB à la reprise au day2
Day2 (120 min lvl)
400/800 (100)
500/1000 (100)
600/1200 (200)
800/1600 (200)
1000/2000 (300)
Fin du day. Estimations : 40 joueurs restants (la bulle a éclaté), moyenne 125000, soit 52BB à la reprise au day3
Day3 (120 min lvl)
1200/2400 (400)
1500/3000 (500)
2000/4000 (500)
3000/6000 (1000)
4000/8000 (1000)
Fin du day. Estimations : 8 joueurs restants (la table finale est formée), moyenne 625000, soit 62.5BB à la reprise au day4
Day4 (120 min lvl / 50min HU)
5000/10000 (1000)
6000/12000 (2000)
8000/16000 (2000)
10000/20000 (3000)
12000/24000 (4000)
Fin du tournoi
REACTIONS, DEBATS, CRITIQUES, PROPOSITIONS, et ACTIONS.
Voilà ce que j’attends de votre part.
Merci.
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sgilmion reacted to General_doc2 in Documentaire foot (et sports en général)
Sortie début décembre, hâte de voir ça
http://www.youtube.com/watch?v=0oanSiO15Ig&feature=youtu.be
The Class of '92 is a 2013 British documentary film due for release on 1 December 2013. The film centres on the rise of six young Manchester United footballers including David Beckham, Nicky Butt, Ryan Giggs, Gary Neville, Phil Neville and Paul Scholes and details their careers for Manchester United starting in 1992.
Overview
The documentary covers 1992–99, culminating in Manchester United’s Champions League triumph in 1999 to round of the treble winning season of 1998–99. The film cuts the narrative with the social and cultural changes taking place in Great Britain at the time.
The film secured full access with all six players and also includes interviews with Zinedine Zidane, Eric Cantona, Danny Boyle, Tony Blair and Mani.
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sgilmion reacted to Sashimi in Championnat du Monde d'echecs [Anand vs Carlsen] 9/11 au 28/11
Non mais cette puissance, le mec tu lui donnes un trognon il te fait 1 l de jus de pomme
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sgilmion reacted to Prosper75 in Le gamble d'une vie.
Vous formiez pourtantun beau couple tous les trois.
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sgilmion reacted to Guest in Le gamble d'une vie.
Ce serait pas mal d'avoir d'autres avis sur ces demoiselles pour se forger une opinion plus précise.
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sgilmion reacted to Yannam in Séries télé
Quitte à évoquer la saison danoise d'origine autant la regarder en priorité car elle est meilleure
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sgilmion reacted to natanoj in November Nine 2013 : le suivi de la table finale
génial j'avais completement zappé!
In depuis Espinar, dans les montagnes du Sud Est Péruvien haha!
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sgilmion reacted to SuperCaddy in Le gamble d'une vie.
Il a visité un vagin. C'est déjà très dépaysant apparemment.
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sgilmion reacted to utopike in Le gamble d'une vie.
Bonjour à tous.
Tout d’abord, et vous l’aurez noté, j’ai un peu délaissé ce thread la dernière semaine.
La faute à un léger ras le bol des blagues redondantes, et autres posts désagréables. Je m’y attendais, mais ça n’est pas toujours facile de lire certaines remarques.
Mais aussi, parce qu’il n’y avait pas grand-chose à raconter d’autre que mes états d’âmes, mes tourments, questions personnelles sur mon futur. Ça aurait pris une tournure de thérapie, dangereuse face à une centaine de psychologues différents mais tous pervers dégénérés.
J’essaierais de revenir aujourd’hui sur les quelques moments rigolos ou ridicules du week end. Pour conclure cette histoire de manière relativement joyeuse et honnête.
Car il s’agira d’une conclusion. C’est bien mon dernier jour à Caracass, je m’envole demain pour Paris. Avec de beaux souvenirs, et quelques regrets dans la valise.
Je n’aurais certainement pas le courage de tout rédiger aujourd’hui même. J’ai des trucs à faire. Mon poker, déjà, mais aussi quelques achats. Il me reste un peu de cash, et ce serait dommage de ne pas profiter des paquets de cigarette à 1€, ou d’un jean levis à 15 balles.
Aussi, j’espère trouver le courage d’achever mes petits récits dans la semaine. J’essaierais tant bien que mal d’insérer quelques photos, mais je dépendrais d’autrui, puisque je n’en ai pas pris une seule moi-même.
En attendant, elle sort de la douche, je vais me rincer l’œil une dernière fois.
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sgilmion reacted to utopike in Le gamble d'une vie.
3 ème et je pense, avant dernière partie du récit du week end.
Après deux heures de route assez calme, nous voici au pied d’une montagne couverte d’une jungle épaisse, légèrement embrumée par des petits nuages solitaires. Montagne que nous devrons traverser. Les filles se réveillent, et l’atmosphère est relativement chaleureuse. Pour ma part, j’ai dû dormir 20 minutes.
La route est très technique, parsemée d’embuches, de trous, de nids de poules. De nombreux virages, des petits ruisseaux… Un 4*4 ne serait pas de trop. Le trajet est objectivement très dangereux. Il ne faut pas oublier de klaxonner à chaque virage, pour avertir les éventuels véhicules qui roulent dans l’autre sens. Un oubli peut être sanctionné d’une chute mortelle. Quelques situations seront franchement très limites, nous croisons des cyclistes (tarés), des motos, des autos, et même des bus, dont le pot d’échappement lâche d’énormes pets dignes des mammouths de notre enfance et qui klaxonnent comme les camions américains de 100 tonnes.
Les paysages sont absolument magnifiques. Mais il m’est impossible d’en profiter car, et ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé en voiture: je suis malade. La cuite récente en est sans doute un peu la cause. Anto se retourne toutes les 15 minutes pour me demander si ça va. J’ai tellement d’affection pour cette ravissante créature que ça ne me vexe pas. J’affirmerais que oui jusqu’à l’arrivée. Et mon corps tiendra, même s’il ne s’en fallu de peu.
Arrivée à l’auberge, tout le monde est heureux. Il fait une chaleur étouffante, sauf dans notre chambre climatisée, ou pour le coup, il fait froid. Nous envisageons de prendre un peu de repos en regardant le classico. Anto et Vero jouent et son fans de foot. Mais nous ne trouvons pas de canal qui le diffuse. Aussi sans tarder, nous descendrons en voiture jusqu’à la plage, manger un morceau, et faire des emplettes pour la journée. Les emplettes ? Elles ont amené une glacière, que l’on remplira de bière. Je continue d’être sidéré par la reine d’Angleterre. Elle éclate des sacs de glace sur un mur comme si de rien n’était, et reste d’une féminité à toute épreuve.
C’est donc chargés de munitions que nous monterons dans une barque, qui nous mènera dans un petit paradis. Sur le bateau, j’exulte de bonheur. Enfin, un vrai gout de vacance. Plus rien ne nous importe, il y a nous et la mer. Je ne pense plus à rien. Je regarde les filles, le paysage, la cote ou je distingue des poissons remontés au bout d’une ligne de fortune par des ados. Leur déjeuner je présume.
Je ne me suis pas senti aussi bien depuis… une presque-ile tropicale du Brésil, coïncidence ?
Nous resterons quatre heures sur cette plage, à ne rien faire. Reste comme une petite rivalité à la secret story. Deux clans se démarquent. Je me baigne et parle avec Vero et Anto, Isa reste avec Kathe. C’est ridicule.
A l’initiative de Vero, nous romprons ce déséquilibre, et la boisson nous réunira définitivement. C’est avec une main levée, et de l’eau jusqu’au coup que nous viendrons à bout de la glacière tous ensemble (36 bières quand même). Kathe sera la seule qui osera chercher la bagarre navale. Mais cette fois-ci, je lui montrerais c’est qui le patron. Tu peux crier autant que tu veux, il faudra muscler un peu tes bras si tu veux venir à bout d’un colosse comme moi, maudite.
Je retrouve enfin un peu de complicité avec Isa, lors de câlins immergés.
Nous retrouvons notre barque et ses commandants à l’heure prévue. Toute le monde est apaisé et épanoui. On se permet un petit dernier bain au large en sautant du bateau. Puis retrouvons la cote, et mangeons un hot dog bien dégueu, qui enchante mes acolytes.
Retour à l’auberge, temps libre. Isa et Kathe dorment dans la chambre. Je dors devant celle-ci, dans un hamac bercé par les voies des deux autres qui entament l’apéro. Inutile de préciser qu’on a rempli la glacière de 36 nouvelles bières en remontant. Après un bref repos, je participe à la conversation, politique et philosophique du moment. Elles sont intelligentes, c’est un plaisir de dialoguer. Nos fêtardes finissent par se réveiller, et nous nous rendons au petit village côtier pour profiter de la fête locale, équipés por supuesto, de notre glacière chérie.
Beaucoup de monde et de musique dans les rues. Nous décidons de prendre pied tout au bout de la jetée, à coté d’une trentaine de personnes, réunies autour d’un groupe de percussion africaine. La musique n’étant pas franchement locale, peu s’aventurent à danser. Tout le monde se bourre la gueule par contre.
Isa remarque et me désigne une danseuse excellente et superbe d’environ 18 ans tout de blanc vêtue. Probablement la petite star du village. C’est vrai qu’elle a du charme. Elle remue son fessier d’une manière extraordinaire tout en restant légèrement timide... Les hommes la courtisent, elle danse, mais ne se laisse pas faire. La glacière rapidement terminée, nous continuons d’acheter quelques canettes, parsemées d’une bouteille de rhum infâme.
Toujours assis au milieu de ce petit carnaval, nous sommes bien entamés. Je regarde la jeune fille en rêvant, quand soudain, j’ai l’impression qu’elle me remarque. Elle me regarde dans les yeux. Puis s’adresse à sa copine en souriant. Mon cœur s’accélère. Ce n’est pas possible, je le sens venir gros comme une maison. La copine fait le tour du cercle me rejoint et m’aborde :
- Salut !
- Salut.
- Tu nous offrirais une petite danse.
- Nous, tu veux dire, toi, ou ta copine ?
- N’importe qui, peu importe, tu danses ?
Mourant de peur et de timidité, je lui explique que je suis un pauvre français bien incapable de remuer son derrière à cause de l’énorme balais qui y est coincé. Ok, je n’ai pas fait de la métaphore en espagnol, mais elle a compris ce que je voulais dire. Elle insiste, je refuse.
Quand tout s’accélère, l’étoile se lève, traverse le cercle, me prend par la main, et m’emmène danser au milieu. Mes 4 compagnonnes s'extasient et hurlent des encouragements. Les amis de l’étoile font de même. Et tout le monde suit, si bien que me voilà le centre d’attention des trente personnes qui crient leur bonheur de voir un gringo essayer de se déhancher sur de la musique africaine pour satisfaire une étoile vénézuélienne. Un ami à elle me cri presque dans l’oreille: « Punis-la ! Punis-la ! »
Prestation peu fameuse, comme vous pouvez l’imaginer. Certains auraient été mal à l’aise en me voyant.
Une petite minute qui semble durer 6 heures passe, quand un jeune homme m’éjecte de la pour prendre ma relève. Mon répit est de courte durée, puisqu’une nouvelle femme plutôt jolie se jette sur moi à son tour pour danser, mais à peine 30 secondes plus tard, de nouveau, je me fais éjecter par un homme qui doit penser qu’elle mérite mieux qu’un piètre danseur comme moi… je m’éloigne discrètement quand l’étoile réapparaît. Elle s’est débarrassé du jeune homme et ne compte en rester là.
Mais j’abandonne rapidement. C’en est trop pour moi. Mon cœur ne tient pas, trop d’émotions, trop d’angoisses, je ne suis pas libre dans ma tête. Il m’aurait fallu savoir danser, ou prendre de la drogue.
J’entame une petite discussion avec l’étoile mais comprends vite que ça ne nous mènera nulle part. La fille veut danser, elle aime danser, la séduire n’est possible qu’en dansant. Elle finira la soirée avec un grand et beau noir, qui sait danser, lui.
Et de toutes manières, j’ai une autre target.
Je retrouve rapidement ces demoiselles, mortes de rire. Elles m’engueulent à moitié. « Mais put**n, ramène-la à la maison. Si tu ne veux pas la niquer, nous on le fera !!! »
Ma target quand elle me voit revenir, me crie en me regardant intensément : « PROSTITUTA ! » . Anto m’a trouvé un nouveau surnom, c’est notre surnom. Cette fille me fait craquer. Je n’ai d’yeux que pour elle. Nous nous échappons plusieurs fois acheter de l’alcool. J’essaye à ma manière, très maladroitement, de lui faire comprendre. Je ne sais pas ce qu’elle comprend, mais elle ne rentre pas dans mon jeu. Je décide de ne pas insister. Oublions cette folie passagère, et profitons de la fête.
Les percussions s’arrêtent, mais un nouveau dancefloor s’échappe d’une petite camionnette. Musique pseudo moderne, mélange d’électro de m**de, et de reggaeton, parsemée de Salsa. Cette fois-ci, nous sommes une centaine, et tout le monde danse. L’ambiance bat son plein. Des danses dégueulasses, tout le monde se frotte, c’est infâme, mais c’est bon.
Je finirais de convaincre Isa de ma bisexualité en dansant avec un homo superbe. Un duo très convaincant et torride. Puis nous rentrerons tous sagement à la casa, destroyeds, heureux, explosés de rire.
Dans la chambre commune, Isa et moi tentons naturellement une petite approche avec Anto. Genre pas méchant, on se jette sur toi dans ton lit, Isa lui empoigne les seins. Mais pareil, elle nous a jarté. Le contexte ne s'y prêtait pas parfaitement, avec les deux autres filles.
Je suis désormais ouvert à l'idée d'un threesome les amis. Même si je continue de m'en battre pas mal les couilles.
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Je trouve ça triste que le 3sum ne devienne obv que maintenant
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sgilmion reacted to LASCAR-QUI-GRIND in Le gamble d'une vie.
t'es une sacré victime mine de rien utopikos
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sgilmion reacted to goDog in Le gamble d'une vie.
En gros t'as pris un billet d'avion pour un pays à l'autre bout du monde dont tu n'as rien vu afin de voir une meuf qui t'a fait cocu sous tes yeux au bout de 3 semaines?! Il est énorme ton fail mais sincèrement je compatis.
Arraches toi de chez elle et profites du temps qu'il te reste pour visiter, au moins t'auras pas été jusqu'à là bas pour rien
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sgilmion reacted to utopike in Le gamble d'une vie.
Salut à tous.
J’entame le traditionnel récit du week end. Celui-ci, j’ai du mal à l’attaquer, tout n’est pas glorieux ni joyeux. Cependant, il y aura je pense de belles lignes.
Vendredi soir, je rejoins Isa, Kathe et une gouine atroce dans un traditionnel before avant le bar rock. Je n’identifie pas instantanément Sacha comme étant de la gente féminine. C’est en lui serrant la main que je constate qu’elle a une paire de loche. Habilement, je serre la main à Kathe. Ça peut passer pour une manière de dire bonjour à la française.
Brait, le grand ami homosexuel d’Isa nous rejoint. Celui qui l’accompagnait 2 ans plus tôt à Buenos Aires. Nous avons un très bon contact. J’ai découvert que je m’étais trompé à son sujet, il voulait me choper deux ans plus tôt. Isa et lui s’interrogeait un peu sur mon penchant. Je crois qu’ils s’interrogent toujours.
Brait fait la navette entre notre table et une table d’amis à lui : 3 pédés. Je constate à un moment qu’ils rigolent en me regardant. Brait m’expliquera qu’ils veulent tous me choper. C’est donc naturellement qu’Isa les invite à notre table. Sacha s’en va, et nous rejoignent deux nouveaux copains… pédés. J’ai donc affaire à Isa, Kathe, et six pédés, qui s’intéressent à mon petit derrière. Je suis la star de ces hommes. Ils me posent plein de questions, me payent plein de coups, touchent mes cheveux, ma barbe, mes bras, mon torse, ils sont très amicaux en somme.
Ça m’amuse, je suis de bonne humeur… Ça a l’air de faire marrer Isa qui leur explique que je suis un bi-sexuel qui ne s’assume pas. Que je n’ai jamais gouté à un chibre. Leur excitation est palpable, qui sera le petit veinard qui aura la chance de me déflorer?
Dans ma tête, pas de doute possible : personne. Je ne suis pas une grosse pédale bande de tarlouze. Vous vous la mettez ou vous voulez, mais d’aucune manière je ne rentrerais en contact avec vos chibres, démons.
Ce doux moment prend fin et nous nous dirigeons vers GreenWich, le bar rock habituel. Je suis dans un état très avancé, et affamé. Il ne reste que deux membres de la colonie des petits papillons. L’un d’entre eux parle bien français, il a vécu 1 an à Paris, et donne des cours de français à Caracas.
Sur place, je ne me sens pas bien. Je connais déjà tout ça, et ça me soûle. Tous ces gens collés, qui dansent et qui hurlent les paroles de chansons qu’ils connaissent par cœur, et dont j’ignorais l’existence.
Je passe plus de temps à fumer dehors avec les deux mecs que dans le bar avec Isa et Kathe. On ira même se faire une petite fringale avec le prof de français. Des sortes de crêpes de maïs très typiques nommées arepas. Ils les fourrent avec toute sorte de m**douille. Je m’en bouffe deux en trois minutes, je vais exploser. Ça passe pas terrible, elles me restent sur l’estomac.
De retour au bar, je constate que, Isa m’a complètement oublié. Mince, elle ne se préoccupe plus du tout de mon existence. Elle semble en revanche passer un moment très agréable en dansant avec une petite blonde mignonne, la trentaine. La moutarde me monte au nez. Je me fais chi**, je veux rentrer. J’explique à Kathe que je voudrais prendre un taxi: Je les laisse sur place, je leur ouvrirais quand elles rentreront...
NO WAY. Ici, quand on sort en bande, on rentre en bande. Caracas, c’est dangereux, blablabla. Il m’est formellement interdit de rentrer sans elles.
Mon petit mal-être se transforme en bonne crise d’angoisse. Je déteste la situation. J’ai trop bu, trop manger, je suis mal, j’ai envie de rentrer dormir, mais il n’en est pas question car ce serait un manque de respect énorme pour les demoiselles que j’accompagne.
Les deux mecs se cassent. Je termine rapidement un paquet de cigarette, j’en achète un autre à un mec dans la rue et prends l’air quelques minutes à 50 mètres du bar, puis vois débarquer Kathe en furie. On te cherche partout, bordel, qu’est-ce que tu fous, Caracas c’est dangereux, blablabla. Elle me traîne de force par la main dans ce bar de m**de, avec cette musique de m**de rempli de venezueliens de m**de.
Et là, je la vois. Cette petite pute, en train de se galocher sauvagement avec la blonde. Je vacille, j’ai la nausée, je perds l’équilibre.
Dans un effort qui réunira mes dernières énergies, je me dirigerais jusqu’à elle pour lui dire que je suis fatigué, je prends un taxi, qu’elle m’appelle quand elles rentrent...
Je traverse les quelques mètres qui me séparent de la sortie dans un état critique. Mes oreilles sifflent, ma vue se brouille, je chancelle. L’air pas spécialement frais ne me revigorera pas spécialement. Je marche rapidement au hasard, jusqu’à un petit buisson, pour y vomir.
Un truc rapide, presque propre, très peu de contenu. Sans doute une des deux arepas avec la dernière bière.
Illico, je me sens mieux. Lève la main, intercepte un taxi dans la seconde, l’interroge sur le prix, il n’essaye même pas de m’arnaquer, je dois faire peur.
Dans la voiture, je suis stressé, triste, mais je commence à m’apaiser, je me sens libre. Les choses s’éclairent: Isabel n’est pas la femme de ma vie. Je rentrerais le 5 novembre. Désormais, je dois profiter des jours qu’ils me restent de la manière dont je l’entends. A commencer par ce fichu bordel de week end à la plage.
A suivre.