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Brèves de plumard

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giggs83

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Dimanche soir minuit, à la sortie de la 2° séance au MK2 Bibliothèque.

Le film, « L’agence », n’était qu’un pâle remix de la saga « Fondation » d’Asimov, le genre de truc qui casse pas trois pattes à un canard mais qui reste un choix « safe » pour un premier rencard.

Car effectivement, j’y avais emmené mon 4 heure, fidèle à ma théorie du « dimanche soir » qui stipule que c’est le soir où le taux de conversion est le plus élevé étant donné l’état de déprime et le sentiment d’inutilité ressentis par la gente féminine ce jour là.

Note aux quettards : le Mk2 Bibliothèque est par ailleurs le meilleur ciné de Paris pour shopper car les sièges y fonctionnent en « duo » avec la possibilité de ranger l’accoudoir central dans le dossier, ce qui donne une sorte de siège géant particulièrement propice au cuddling et autres attouchements.

Bref, entre ses petites bottes de cowboy, son parfum estival et sa jupe affriolante sous laquelle j’ai à plusieurs reprises glissé une main curieuse au cours de la séance (qui fut accueilli avec une rougeur au niveau des joues et un sourire gêné au plus haut point excitant), je sors avec un braquemard à soulever le couvercle d’un cercueil et une furieuse envie de défourailler cette coquine.

Sentant la demoiselle plutôt ouverte, j’insiste un peu et réussi (trop) facilement me faire inviter pour un dernier verre à son domicile tout proche.

Travaillant tous les deux le lendemain et sachant l’un comme l’autre quelle serait la finalité de la soirée, nous passons assez rapidement à la phase allongée... ou plutôt à la phase à quatre pattes.

Et c’est là, en pleine besogne, que je ne cesse de repenser à un truc : ses petites bottes de cowboy en daim!

Mon cerveau se met alors à travailler rapidement avec pour seul objectif de lui faire remettre ses bottes pour la chevaucher en mode « middle west » (mon passage forcé de plusieurs mois dans le Kansas ayant fortement altéré ma personnalité et ma sexualité, mais ceci est un autre débat).

S’ensuit donc la conversation suivante (en plein labourage) qui restera marquée à tout jamais dans ma mémoire :

Moi « Tu connais la pose du ‘Cowboy Texan’ ? »

Elle « Hihi, non, vas-y raconte … »

Moi « Pour ça, faut que tu remettes tes bottes ! »

Elle (tout sourire)« OK mais si je remets les bottes, c’est toi qui fait Jolly Jumper »

Quelques minutes plus tard, j’éjaculai bien plus vite que prévu…

-------

Mercredi soir 23h05.

Je rentre à la coloc’ après m’être fortement alcoolisé devant MU/Chelsea avec ma meute de potos dans un des milliers de bar Irlandais de la capitale.

A peine arriver au bercail, une jeune gourmandine, fortement travaillée par ses hormones en ce début d’été, m’envoie quelques textos afin de me sortir de mon antre pour aller boire un dernier verre.

Le gentilhomme prude et bien pensant que je suis lui notifie immédiatement que l’heure est un peu tardive pour cette rencontre, à moins qu’elle m’invite chez elle pour fumer un dernier mocko.

Bingo ! 15 minutes plus tard me voilà en route après une rapide masturbation préventive, la bouche fraîche (et grâce à l’action 2 en 1 de Signal, l’émaille renforcée et éclatante pour 48H), le dessous de bras impeccable et le sexe proprement rasé.

J’arrive chez la gente demoiselle et entame le rituel habituel de sécurisation de la coquine, phase drôle car totalement paradoxale. Vous savez, ce fameux moment où les deux parties savent qu’il va y avoir sexe (moi chibre demi mou prêt à dégainer, elle déjà en train de mouiller l’avant de sa culotte et la main prête à remonter le long de ma cuisse) mais le nient fortement.

Exemple d’échange pouvant avoir lieu lors d’un rituel de sécurisation :

- Elle : « Tu sais, c’est pas mon genre de faire venir un mec que je connais à peine chez moi si tard le soir…. Va pas croire des trucs, hein ? lolilol »

- Moi : « Loin de moi cette idée, de toute façon je bosse demain, donc après le péco, dodo ! »

Bref, un pétard et une vodka-cola plus tard, me voilà en train de besogner la cochonne, découvrant ça et là quelques tatouages (plutôt moches soit dit en passant), et me demandant si la chaleur n’est pas en train d’entrainer chez moi un phénomène de sudation excessive.

N’écoutant que mon courage, je redouble d’effort, déversant tous les fluides mon corps sur et dans la mademoiselle.

Et c’est là que tout devient limpide !

Mon cerveau réveillé par l’effort (et par le jet puissant de jus de chatte que je viens de prendre sur le ventre), comprend que pour la première fois de ma vie, j'ai affaire à une femme fontaine !

La rigolade dura une bonne partie de la nuit, et après une rapide douche avant le coucher, nous nous entendîmes pour changer les draps malgré l’heure tardive afin de ne pas avoir à dormir de part et d’autre de la flaque située au milieu du lit.

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