Jump to content
This Entry
  • entries
    33
  • comments
    231
  • views
    47888

Le Run Rose [PART 5]

NICEBET

3303 views

Je sais.

J’ai mis du temps à pondre cette 5ème partie.

J’étais trop occupé à détruire ce que j’ai mis 8 mois à construire et croyez-moi, j’ai bien tout niqué. Tout y est passé.

 La vie est un combat de tous les jours ou rien n’est jamais acquis. J’ai, encore une fois, eus un excès de confiance. Toute ma vie.

J’ai un peu remonté la pente du point de vue du moral mais croyez-moi, ce fut les 2 mois les plus difficiles de mon voyage.

J’écris en direct de Bali ou tout parait moins important et ou ENFIN j’arrive à sortir d’un état limite dépressif.

Cela fait 6 mois que je n’ai pas touché une fille. Je suis officiellement slip de platine.  #stevelesociologue

J’ai moi-même du mal à le croire quand j’écris mon run rose… put**n mais qu'est ce qu'il se passe? Je tenterai d'y répondre, mais pas maintenant.

Certes, pendant 3 mois je n’ai vu que des vaches et l’aventure zoophile ne me paraissait pas une option viable, donc finalement c’est plus 3 mois de fail qu’autre chose. Mais quand même.

Inès, cette divine créature, m’a mis un stop de l’espace et j’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre dans la mesure où j’étais déjà bien au fond du trou. C’est une histoire que je vous raconterais (peut-être) plus tard. Ce qui vous intéresse mes conos, c’est le Hugo « brillant ». Le Hugo qui fait mouche dans leurs moules.

Let’s go bande de petit pervers.

IMG_1755.thumb.JPG.787f3b7073fc0b3bdc5a0373a23acce2.JPG

Ma gueule quand je réalise que j'ai spew 35 000$ en trois mois combo PLS d'Inès

 

MJ. 26 ans, travaille dans le graphisme.

Je l’ai rencontré sur Tinder. On discute un moment par texto et j’aime beaucoup son style. Elle a un humour assez direct et une certaine répartie. Ses photos laissent voir qu’elle est jolie mais n’en dévoilent pas trop. On est sur un profil de qualité me dis-je.

MJ c’est le piège féminin typique. Au début elle ne montre que ses bons côtés et sournoisement, cache ses cotés vraiment très chiant. Une manipulatrice en herbe. Comme elle est incroyablement bonne (1m60, 48kg, un gros 85D) et vraiment jolie, l’aiguille de mon radar « meuf chiante » est dupé et tout le sang de mon corps se dirige vers ma bite, laissant mon cerveau incapable de réagir correctement. Comme d’hab quoi.

 

On se rencontre lors d’une soirée de printemps à Montpellier, dans un bar proche de la place St Anne. Je la vois arriver- pantalon noir, pull noir, blazer noir. Pas très gay mais elle est conforme aux photos et CA, c’est toujours une petite victoire. Comme une win d’un SNG jackpot x4 avant de lancer ta session MTT. Ça ne t’avance pas beaucoup, mais c’est toujours bon à prendre.

 

On se pose en terrasse, je commande une pinte bien virile et elle choisit un cocktail à 15€. Y’a comme un écart dans nos commande mais au diable l’avarice, je ne me formalise pas. La proie de ce soir est des plus charmantes et je me vois déjà la démonter à lui en faire perdre ses petites lunettes de secrétaire cochonne.

On discute, je la met à l’aise et conduis la conversation. Elle parle relativement peu « préfère écouter » jusqu’au moment où on parle des aventures « tinder ». Elle me dit qu’elle a connu un mec via l’appli et qu’elle est resté un moment avec mais que ça s’est plutôt mal fini. Pas plus d’explications, même si je sens qu’elle pourrait m’en parler si je lui demander.

 

Elle boit mes paroles et j’en profite pour raconter ma vie. Les côtés sympas du moins. J’enclenche le mode « endormissage » et j’y vais franco :

 

« J’ai travaillé et eus beaucoup de responsabilités pendant 4 ans, j’avais une copine, un appart et un très bon CDI. J’ai tout quitté car je n’étais plus en phase avec moi-même, je ne voulais plus continuer à alimenter les rêves de mon patron et je suis donc parti pour vivre les miens : Vivre par et pour moi-même, voyager, écrire et financer le tout grâce au poker. »

 

En général ça fait son petit effet. L’image du mec qui plaque tout et qui assume, c’est du béton.

 

C’est drôle que je n’en parle que maintenant, mais c’est vraiment cette même phrase que j’ai répété a quasiment toutes mes cibles (et que je répète encore). Je pense que chacun à « sa phrase d’accroche », moi c’est celle-là.

 

En réalité, je suis parti car je faisais une dépression et le seul refuge que j’ai trouvé était de fuir, loin, et d’essayer de commencer à écrire. Même si n’ai jamais vraiment écris, je n’ai jamais réussi à vivre à 100% du poker non plus et je flippais complètement de voyager SEUL. J’avais pas une thune et n’en n’avait pas vraiment mis de côtés, trop occupé à flamber dans des plaisirs éphémères. 

 

petite.jpg.e42b3db680b17ac04710198fa7892eeb.jpg

Bon OK, c'est pas elle, mais c'est ce que j'ai trouvé de plus proche de ses boobz à elle #truestory (après une longue & difficile recherche)

 

 

Bref, full bluff sur 3 street mais avec assurance.

On finit le verre.

« Un autre ? »

« Ok mais je vais être pompette ».

 

Je n’aime pas l’amateurisme mais c’est tout de même intéressant.

 

« Bah, je n’ai pas eu le temps de mettre du GHB dans ton premier verre donc je veux bien une deuxième chance »

 

Sourire, contre sourire, micro silence

 

 « Garçon, la même ! »

 

On finit nos verres, plus rapidement cette fois-ci, quand approche l’heure « où il faut faire un move ».

 

« Si tu veux, j’ai une bouteille de vin chez moi »

« Pourquoi pas ! »

 BENGO

 

On arrive chez moi, elle s’assoit dans mon nouveau canapé et je sers les deux verres.

 

Je m’assois à mon tour et ni une ni deux je l’embrasse. Après 5 minutes de roulage de pelle en bon et due forme, on commence à discuter de cul. Superbe transition.

Et là, elle me parle de ce mec qu’elle a connu. Celui dont je n’ai pas souhaité connaitre le dénouement.

Son ex avait des tendances sado et pratiquer le bondage. Elle, elle acceptait car « j’aime bien être soumise ». Moi, quand elle me dit ça, je me dis « Ouuuuuh, ce que je vais te mettre ! »

 Sur la fin, c’était trop hard et elle sentait bien que le type était un peu tordu. Elle l’a donc quitté.

Elle rajoute qu’il avait une petite queue et qu’elle préfère « les grosses ». Là, elle me regarde sans le dire [et toi ?]. Je souris. Ni une ni deux, elle m’embrasse et me malaxe la teub jusqu’à ce que celle-ci montre le bout de son gland.

 

 Elle lance un « Ah ouais ! Moi aussi j’ai des atouts intéressant ».

 

Elle enlève son blazer puis son haut et son soutif, et là « fracture net de l’œil droit ».

Une paire d’énormes boobz P-A-R-F-A-I-T-S. Je dois lâcher un filet de bave sur le moment, puis je me dis « put**n, tu vas foutre ta tête dedans dans 3-2-1.

 

1er barrel.

 

Je n’ai pas mis que ma tête.

 

Je la démonte littéralement sur le canapé à tel point que le canapé se décale d’une bonne trentaine de centimètre du mur. Elle me demande direct d’y aller plus fort, plus fooooort ! Incroyable première baise.

Une fois finit, elle me demande un truc sucré car elle a la tête qui tourne [feeling de like a boss]. Je lui propose un gâteau mais madame est intolérante au gluten. Une tartine de Nutella- elle n’aime pas la noisette et digère mal le chocolat. OK, de là je me dis bon t’es casse couille mais t’es beaucoup trop hot pour que je te le dise.

Je lui sers donc un verre de jus d’orange en m’attendant à ce qu’elle me sorte « il est bio ? ». Ce qu’elle ne fait pas. Elle rajoute cependant qu’elle est TRES difficile en ce qui concerne la nourriture.

 

J’ai déjà pratiqué des meufs un peu chiantes sur la bouffe et ça m’a toujours un peu rebuté. Elle, elle ne mange RIEN. En gros, elle mange du riz, du poulet et basta. Elle n’aime même pas les légumes cuits. Elle m’explique qu’elle a des problèmes de digestion, qu’elle est intolérante au lactose, gluten et plein d’autres trucs chiant. Première fois que je me rends compte de la vérité du graphique de Barney Stinson.

 

Vraiment trop fort ces ricains.

 

marjo.thumb.png.6feea098b4cf2db54728f8f588a25e4f.png

La relou se cache souvent derrière des masques snapchat (de chienne)

 

Après l’avoir écouté pendant 20 minutes sur les difficultés qu’elle a à s’alimenter et à digérer, je profite d’un moment de silence pour lui dire « bon je suis crevé, on dort ? » Elle est casse couille mais je pense déjà à lui mettre mon fameux barrel matinal. Mais non, madame me dit « non mais je vais rentrer je ne veux pas t’embêter ».

« Non mais ça ne m’embête pas ! En revanche, quand tu me parle pendant des plombes de tes problèmes de digestion, ça, ça me fait chi** une tonne » Evidemment, j’en reste à la première partie de cette phrase mais elle insiste pour partir.

 

« Non mais j’ai dit à ma mère que je rentrerais ce soir »

 

Ok, deuxième révélation de la soirée, à 26 ans, alors qu’elle bosse, elle habite encore chez sa mère. Je trouve ça bizarre mais j’ai trop donné de ma personne à l’écouter précédemment pour me lancer dans une autre explication relou.

 

« Ok ok, fais comme tu le sens ». On s’embrasse et elle quitte mon antre.

 

Le lendemain, je suis perplexe. Déjà parce qu’à 11h du mat, j’ai déjà reçu 3 messages de sa part et ensuite parce que cette histoire d’habiter encore chez sa mère me parait bizarre. Je me doute bien qu’elle a un mega combo draw qu’elle essaye de tourner en bluff river mais je décide quand même de fold.

Je me souviens de ses boobz, de notre baise d’enfer et je décide donc de faire l’autruche. Le tournoi vient juste de commencer, pourquoi prendre des risques maintenant ? Je choisi l’option low variance ou communément appeler l’option « gros lâche » en répondant poliment. Je mets tout en œuvre pour la revoir au plus vite en espérant qu’elle a compris que je m’en bas les couilles de ses problèmes gastriques. Je veux juste revoir ses énormes seins le plus vite possible.

 

Notre deuxième rencontre se passe en début d’après-midi. Elle choisit un restaurant rance et m’annonce en s’asseyant qu’elle rentrera après avoir mangé car « elle a du boulot ».

 

Comme une sensation de m’être fais niquer sur le coup. Je dois assumer de partager du temps avec elle sans aucuns espoir de fornication.

 

Je subis la situation en essayant d’être poli et de lui montrer que je m’intéresse à elle dans l’unique but de la ramener chez moi après le repas. Elle me dit qu’elle veut être en couple et qu’elle ne veut pas d’une histoire sans lendemain. Je reste évasif en disant que je ne suis pas contre d’être « exclusif » mais que dans tous les cas, dans 5 mois je pars en Australie pour au minimum un an. Elle ne dit trop rien mais je sens bien qu’elle pense qu’elle peut me retenir.

Elle me lâche des trucs du style « tu sais, moi les mecs, au début ils font les gars détachés mais je réussis toujours à en faire mes toutous » Enorme barre de rire interne, je ne suis vraiment pas le genre de type à qui il faut dire ça. D’une part parce que depuis la libellule je ne ressens pas grand-chose- voire rien-  et d’autre part parce que ça me donne cruellement envie de lui donner tort et d’être super piquant. Je souris malicieusement quand elle me dit ça mais ne répond pas.

 

Je profite de cette situation stoïque et limiter dans le temps pour l’interroger sur sa mère.

 

« Ma mère est folle ».

Ça commence bien.

« C’est une perverse narcissique qui fait tout pour me garder à la maison. Quand j’ai voulu prendre un appartement, elle a menacé de se suicider » Ça pue le mytho et si ce n’est pas le cas, quelle mère peut dire un truc pareil ? En général la pomme tombe jamais loin du pommier et à ce moment précis, je commence à me dire que OK elle est super bonne mais que y’a des limites à l’aveuglement du slip. Elle me raconte tout un tas d’anecdotes très suspicieuses sur sa mère et ses agissements mesquins. Franchement, c’est tellement énorme que j’ai du mal à y croire. Y’a quelque chose dans son regard, dans sa façon de s’exprimer, qui me fait dire qu’elle cherche de la pitié. Une espèce de stratagème pour que je me dise « oh la pauvre, c’est dur quand même ».

On finit le repas, on split l’addition et je la raccompagne à l’arrêt de tramway. 2 minutes avant que son tram arrive alors qu’on finit de s’embrasser, elle me lâche un « Hum, qu’est-ce que tu m’excite, finalement je serais bien resté » Je lui lâche que si elle veut on peut se revoir ce soir mais elle trouve une excuse bidon « je dois nourrir et m’occuper des oiseaux de ma mère ce soir. » A partir de là, j’ai la certitude qu’elle a dit ça à ce moment précis, uniquement pour me faire languir et quelque part, avoir une emprise sur moi. J’ai déjà utilisé cette ruse maintes fois. A d’autres.

 

On se quitte la dessus et je rentre chez moi encore perplexe. J’en parle à un pote qui me dit que je devrais au moins la rebaiser quelques fois avant de prendre une décision.

 

 Ouais, j’ai des potes comme ça !

 

On se revoit 3-4 jours après car Madame est « busy » mais aujourd’hui, je pense simplement qu’elle voulait se faire désirer. Entre temps je fais une soirée, et je revois une fille du run que je barrel joyeusement, histoire d’être sûr de ne pas être sous l’emprise de MJ.

Quand je revois MJ, je n’éprouve aucun remords et suis donc largement rassuré #Serein

Elle vient chez moi et je lui fais un repas simple : poulet curry, riz. Elle mange deux bouchés et n’a plus faim. Je commence à la chauffer mais elle veut absolument parler. Donc on parle, on parle et je prends sur moi comme jamais. C’est comme être à Noel, voir les cadeaux, mais devoir attendre qu’on déjeune pour les ouvrir. L’attente est insupportable et je feins de l’écouter et buvant du vin et fumant un gros joint. Pour finir, on baise et bizarrement, même si c’est cool, c’est moins intense. Quelque chose c’est cassé je crois.

Je la laisse tremblante sur le lit et me roule un bédo. « A bon ? Tu vas encore fumer un joint ? »

« Oui, ça te dérange ? »

« Non non, mais tu fumes beaucoup quand même ».

 Bordel, c’est la troisième fois qu’on se voit et t’es déjà super chiante comme ça ??!

« Ça te pose un réel problème ? »

« Non non, je disais ça comme ça »

 

Les meufs qui « disent ça comme ça ».

 

Je le fume en l’écoutant me parler de son père, qui n’est pas mieux que sa mère apparemment, puisqu’il les a abandonnées étant jeune. Lorsqu’il la garder avec sa sœur, il baisait des filles qu’il ramener, « devant elles ». J’ai encore une fois, beaucoup de mal à y croire.

Bref, je finis mon pet, va pour lui mettre un deuxième barrel mais non, madame est repu, et souhaite dormir.

Le matin, je lui mets un barrel, forcément, et c’est cool. Je prends l’option « j’ai des trucs à faire » et la dégage assez rapidement.

On se revoit deux trois fois par la suite, toujours à plusieurs jours d’intervalle.

L’avant dernière fois qu’on se revoit, c’est en présence d’un couple d’amis à elles. Ils sont gentils dans l’absolu mais franchement pas le genre de gens avec qui je traine. Bien trop lisse. Toute la soirée, elle me colle et m’expose fièrement à ses amis et au reste du monde. Je me rends compte qu’elle se projette de ouf alors que de mon côté, je viens de prendre mes billets pour l’Australie sans lui avoir dit. Elle réveille en moi un être sadique parce que j’ai limite hâte de lui dire que tout son petit jeu de manipulation d’amateur, ne fonctionne pas. On passe la soirée dans ce bar (le barberousse) et on rentre chez moi. Elle est ivre donc elle se lâche. En gros, je la tringle dans tous les sens, un bonheur ! Finalement, il suffit juste de la faire boire pour qu’elle ne soit pas relou, mais même avec cette info, je suis las et j’ai déjà pris ma décision. On se lève, pti barrel des familles- vous êtes habitué- et je vais chercher des croissants. Sur la route, je me demande comment je vais la bust… #ambiance

 

Le weekend arrive et ce samedi j’ai un concert (live au pont). C’est prévu depuis quelques temps mais elle n’est pas au courant. Lorsqu’elle me demande ce que je fais ce soir, je lui réponds que je vais là-bas avec toute ma bande de pote mais qu’on peut se voir dimanche pour cocooner. Elle est vexé, tente de me faire réagir par message mais je ne réponds pas. Le lendemain, forcément, madame me dit qu’elle voit un groupe d’amis. Vraiment obvious qu’elle veut « me faire payer », classique shit.

Je la revois 3 jours après et je décide de lui annoncer que j’ai mes billets pour l’Australie et que je décolle dans 2 mois et demi. Je suis hyper excité mais elle, pas du tout. Au contraire. Elle tire la gueule grave. Je pense qu’elle se rend compte que tout son petit manège n’a pas fonctionné. Je lui avais pourtant parlé plusieurs fois de l’importance de ce projet pour moi, à chaque fois elle acquiesçait sans vraiment s’emballer. Probablement qu’elle était persuadé de me retenir au pays.

 

Manqué.

 

Elle me fait une scène et je lui dis un truc du genre « bon écoute si t’es pas contente tu te casses ». Elle est limite en larme mais je décide de m’en battre les couilles. Je me dis que ça lui fera les pieds. Le pire c’est que je suis sure que son petit jeu de manipulation marche à 90%. Mais pas sur moi, et sur le coup, j’en suis limite fier. J’ai réussi à reprendre le contrôle de mon cerveau !!!

Elle se barre et pendant une semaine je reçois des messages incendiaires auxquelles je réponds la plupart du temps « ok ok ». Le dernier, je lui pose un bon pavé comme je sais si bien les faire et après un dernier message finissant par « tu sais, de toute façon, j’ai déjà retrouvé quelqu’un et je suis amoureuse » Infini rolling on the floor- Tarée complet.

Alors messieurs la morale de cette histoire (j’ai l’impression de me répéter put**n), ne pas laisser sa queue baiser votre cerveau en toute impunité. J’étais un peu mal pour elle après car je suis parfois sensible mais finalement le sentiment dominant c'était de me dire que j'avais été plutôt balaise. Je n’ai rien remis en question et j’ai suivis mon plan. Finalement c’est ça la morale. Ne pas remettre en cause un projet pour une random qu’on connait a peine. Basique mais toujours bon à rappeler ~

 

MRN, 23 Ans, étudiante.

Rencontré lors d’une soirée à Nîmes. Elle est venue me parler alors que je fumais ma clope dans le carré fumeur. On a discuté pendant une petite heure alors que j’étais sacrément bourré et dans ma phase Nimoise pré-départ. Autrement dit, j’en avais plein le cul des gonzesses. Je prends quand même son numéro car j’ai du mal à laisser passer des spots de 3 bet aussi obvious.

 

On se revoit dans un bar à Montpellier quelques jours plus tard et manque de pot- mais forcément j’ai envie de dire- elle est bien moins jolie quand des mes souvenirs. Le pouvoir de l’alcool. Cependant, elle est grande et à de longues jambes, et ça, c’est ma came !

La discussion tourne autour de mon voyage, je pars dans moins d’un mois et je valide bien le fait que dans tous les cas, ça sera une relation légère. Ça ne la dérange pas. En fait je crois qu’elle est déjà prête à ce que je lui dise : « On va chez moi ? ». On continue à converser.

Elle me raconte sa vie. Elle est plutôt cool mais en vrai, je m’en branle. On boit 3 verres et je la raccompagne chez elle. En bas de chez elle, on se roule des grosses pelles de collégiens jusqu’à ce qu’elle me dise « tu veux monter ? »

Je vous laisse deviner ma réponse.

On se met au lit « pour matter un film » mais très rapidement la température monte et je lui cale des doigts #standard

Elle me stop.

« Faut que je te dise un truc »

Inquiet, je réponds « oui ?? »

Il faut savoir que j’ai toujours eu peur de cette situation et que la meuf me dise « j’ai le sida » ou un truc bien glauque genre « mon grand-père m’a violé à répétition quand j’étais gamine »

Heureusement, ce n’est ni l’un, ni l’autre.

« Tu sais j’ai connu beaucoup de mec, genre vraiment beaucoup et j’ai plus vraiment envie qu’on me baise sans donner de nouvelles ensuite ».

 

Ouf #Soulagé

 

Je sais que je vais faire la pute car je n’ai pas du tout envie d’en faire ma meuf, même pour un mois.

« Bah ok, si tu souhaites qu’il ne se passe rien, il ne se passera rien »

Je joue la carte de la psychologie inversé combo gentleman compréhensif pour obtenir un move de sa part mais surtout, pour ne pas à avoir à mentir et dire « tkt je serais pas comme les autres ».

 

Je serais comme les autres.

 

MAR.thumb.jpg.d8193da8e25c99cf80b64cc89ccb8fb5.jpg

Vu la lourdeur de mon slip de platine, je regrette... Oui je regrette mes amis

 

5 minutes après, elle a dû trouver ça tellement cool de ma part, qu’elle à ma queue dans la bouche.

On baise et dodo.

Le lendemain matin, je n’en mène pas large. Déjà parce que vraiment, elle n’est pas très jolie mais surtout parce que bichette, j’ai vraiment méga envie de faire comme les autres. En vrai, je les comprends et c’est assez triste pour elle. Elle est chaude mais ce n’est pas le genre de fille que t’as envie de garder.

En partant, elle me dit : « tu me rappel hein ? »

« Oui oui, t’inquiète »

J’aimerais bien avoir le flash des Men In Black dans ces moments.

Deux jours après, je pars à Toulouse pour voir des amis et la Libellule avant le grand départ dans 3 semaines. J’y reste 3 jours et à mon retour, vu qu’elle m’envoie des messages, je propose à Marion de venir à Nimes dans l’appartement de grand-duc ou je vis. Elle se fait pas prier et déboule le vendredi soir.

Je la récupère à la gare. En plus de m’embrasser grossièrement devant tout le monde, elle pue de la gueule sévère et pire, me tient la main sur tout le trajet. Pas cool bro, la soirée va être longue.

Comme je reviens de Toulouse et que j’ai vu mon ex, il faut que j’évacue la pression.

Je la snap baise sur le canapé en velours. Ce n’est pas la baise du siècle mais elle y met tellement d’entrain que c’est cool. Je lui fais à manger et elle en redemande pour le dessert. Je fais une esquive de l’espace en lui disant que je n’ai plus de capote. On va se coucher, elle me suce, avale. Champion Hugo.

Le lendemain elle doit partir tôt car je l’ai prévenu avant qu’elle n’arrive à Nimes que j’avais une sortie rivière avec mes potes.

La suite est affreusement banale pour elle. Je fais le mort, comme un petit fils de pute. Tout simplement. Ça se finit comme ça.

Je suis vraiment désolé MRN mais je n’avais vraiment pas la force de fournir plus d’effort que ça. Finalement je crois que c’est pire que d’avoir fait le mort direct car elle a dû croire « put**n, enfin un qui me rappel » !

Moralité, pas de moralité. La technique du mort c’est super efficace bro.

 

C’est la fin de cette 5eme partie. La prochaine se passera en Australie avec une première expérience des plus intenses. J’ai conquis les Etats Unis d’Amérique et croyez-moi, c’est pas pour rien que c’est la « porn nation ».

 

Je vous laisse sur cette petite pic... 

 

IMG_0240.thumb.JPG.cb9400236f6d2e6272bc227f97aeb195.JPG

La belle Inès...

 

La bise !

Hugo



6 Comments


Recommended Comments

Le 16/11/2017 à 03:32, BV77 a écrit :

+1 dark, maintenant je commence à lire

@BV77 J'ai pas bien compris mon poulet :ph34r: 

 

Le 16/11/2017 à 08:41, zmasters a écrit :

Tu retombes dans tes travers...Ou sont les photos?!! Bordel de m**de!!

oops ! Rectifié Monsieur @zmasters

Bon j'avais pas des masses de photos à mettre donc j'ai meublé :D 

Edited by NICEBET

Share this comment


Link to comment
Le 05/01/2018 à 02:37, fojAA a écrit :

Je me gratte les veines la, j'ai besoin de ma dose !

Bonne année au passage bro !

Merci mec, bonne année à toi aussi :) 

Ça arrive incessamment sous peu !!

Share this comment


Link to comment

Create an account or sign in to comment

You need to be a member in order to leave a comment

Create an account

Sign up for a new account in our community. It's easy!

Register a new account

Sign in

Already have an account? Sign in here.

Sign In Now

English
Retour en haut de page
×
Winamax : WiPT
Winamax : WiPT